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 Les Sacrements 

 
 
 

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             La Porte du Ciel Les Sacrements N°16 

CONSEILS PRATIQUES

 
 

conseils pratiques

Respecter l'action de Dieu

La confession n'est pas un exercice d'hygiène spirituelle, ni le calcul d'un bilan moral. Il ne s'agit pas de pratiquer l'adage des païens : « Connais-toi toi-même. » Elle n'est pas non plus une confidence qui soulage, ni une consultation auprès d'un maître en sainteté. C'est un sacrement, une rencontre avec Dieu, avec le Sauveur. « Si le Christ n'est pas ressuscité, disait Saint Paul, vous êtes encore dans vos péchés.» Si ce n'est pas le sang du Christ qui nous lave, la confession est de nulle efficacité.

Par conséquent :

Il faut toujours réserver un temps de prière avant la confession, se mettre en présence de Dieu, se préparer à reconnaitre le Christ dans le prêtre.

II est bon de garder l'usage des formules qui donnent à notre démarche son caractère religieux, le Confiteor surtout. S'il est impossible de le dire au cours de la confession, pourquoi ne pas le réciter immédiatement avant?

On est toujours libre de choisir son confesseur. En cas de faute grave, il ne faut pas attendre que notre confesseur ordinaire soit disponible. Tout Prêtre muni des pouvoirs est le représentant du Christ.

Préparer nos coeurs à la grâce.

L'action divine ne s'exerce pas sans notre concours, à la manière d'un mécanisme automatique. La grâce de Dieu nous pousse d'abord à préparer nos coeurs par la contrition, ce retournement que la Bible appelle « pénitence ». Ensuite, elle transforme nos âmes : si nous avons commis le péché mortel, elle nous rend la vie. Si nous sommes encore en grâce, elle produit dans nos âmes une augmentation de foi, d'espérance, de charité, et de toutes les vertus, bref un progrès dans la vie spirituelle et morale. Nous devons donc accueillir cette grâce de pénitence et ses fruits de progrès, et faire tout ce qui dépend de nous, pour que la grâce de Dieu en nous ne soit pas vaine.

A cet égard rien n'est plus dommageable qu'une accusation routinière accuser toujours les mêmes fautes, d'une façon très générale; en mettant tout sur le même plan, fautes graves et peccadilles; en ne regardant que les fautes légales, prières manquées, abstinence du vendredi; en négligeant l'amour de Dieu et du prochain.

Voici quelques conseils qui permettent une meilleure accusation

-- II est obligatoire de dire toutes les fautes graves. Mieux vaut les mettre au début de son accusation, plutôt que de les noyer au milieu du reste. La contrition porte ainsi particulièrement sur les points importants.

-- II est impossible d'accuser toutes les fautes vénielles. On peut faire occasionnellement, par exemple à Pâques, une confession plus générale, qui essaie d'embrasser la totalité de la vie. Mais pour la confession fréquente, le seul moyen d'éviter la routine est de choisir, sans pour cela négliger longtemps ni l'amour de Dieu, ni celui du prochain, ni le devoir d'état. Une bonne accusation porte sur ces trois points, où nous péchons tous « sept fois par jour ».

-- Il faut accuser des actes, non des tendances, qui ne dépendent pas de notre volonté. Les tendances, ou défauts, sont vagues, les actes sont précis et circonstanciés. Ne dites pas : Je suis paresseux, ni même : J'ai été paresseux; mais dites : J'ai négligé de rendre service à la maison pour rester couché une heure de plus.

Quant aux tendances, elles apparaissent justement dans l'intention des actes : « J'ai critiqué la toilette d'une collègue, parce que j'en étais jalouse. »

-- Indiquez s'il s'agit d'une faute de surprise, d'une rechute, d'une habitude; si vous faites des efforts pour vous en corriger. Plus encore que le nombre des fautes, dites si vous êtes en Progrès ou en recul. Le sens de la marche importe plus que l'endroit précis où l'on se trouve.


--L'Église demande le « ferme propos », qui n'est pas l'engagement de ne plus commettre tel péché, mais la ferme volonté de faire effort pour se corriger. Précisez votre ferme propos en une résolution concrète : la plus précise est la meilleure. On peut la mentionner dans la confession suivante, rendre compte des échecs ou des succès. On peut aussi demander une pénitence qui s'y rapporte.

--Ceux qui « n'ont rien à dire» feront bien de penser que Dieu ne nous demande pas seulement d'éviter le mal, mais de faire le bien, de l'aimer et d'aimer le prochain. L'amour est infini, jamais l'on n'aime assez. Ils pourront, en lisant les questionnaires ci-dessous, s'attarder aux questions positives qui soulignent les fautes d'omission : Ai-je rendu heureux ceux avec qui je vis? Ai-je cherché à les aider, à les comprendre, etc...?

-- II sera bien plus facile de faire de la confession un moyen de progrès spirituel, si l'on s'adresse régulièrement au même confesseur : il nous connaît, avec nos difficultés et nos ressources; il peut nous conseiller et nous stimuler.

 

La Porte N°17  Examen de conscience général

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